A mon Troubadour !
A mon Troubadour !
Où es-tu mon beau Loup que je voudrais posséder,
Loin de mes yeux mais plein d’envies sulfureuses,
Viens me donner les promesses de ce jour à aimer,
Laisse tes sens s’éclater sur mes lèvres fiévreuses.
Que notre fusion soit source de jouissance divine,
Et qu’à ta chair, offrir la douceur de mes baisers,
Sentir grandir en moi, ton ardeur si virile,
Celle qu’une femme souhaite en toute humilité.
Venir en moi en va et vient, entendre tes invitations,
Laisser mes mains explorer tes sentiers cachés,
Pour te conduire enfin vers toutes tentations,
Et déchaîner ainsi un flot de caresses osées.
Je veux faire de Toi, le soumis d’une passion enivrée,
Que notre corps à corps parvienne jusqu’en puissance,
A te donner la connaissance de ta Bien-aimée,
Pourvue de tendresses mêlées d’une douce violence.
Maria Cesare. Le 18 mars 2012