Brouillard
Immensité ou bien brouillard !
Sans ton Amour, suis dans le noir,
Mon cœur saignant, plein de cafard,
Aurais-je un jour plus d'idées noires ?
Toi ! Mon Amour, mon désarroi,
Ne vois-tu pas que dans mon cœur ?
Il est une place, celle du Roi,
Mais dans la vie, rien n'est douceur.
Immensité ou bien brouillard !
Mêlent-démêlent mes sentiments,
Passion si grande et si bizarre,
Eloigne-moi de ces tourments.
Tourments sans trêve, vous faites mal !
Passions, désirs, déchirent mon corps,
Dans cette attente presque infernale,
Je souhaite enfin, délivrance-mort.
Et toi, mon corps, je te rejette !
Je ne veux plus douleurs si dures,
Car Toi ! Mon Ame, tu es inquiète,
Et seul l'espoir te rendra pure...
Maria Cesare. Le 7 juillet 2007